Aller la navigation | Aller au contenu

17-varia

Cyril Masselot, Aurélia Lamy et Gino Gramaccia

Remerciements à Brigitte Chapelain

Annonce et actualité

1Fidèle à ses engagements premiers (juin 2007), l’aventure des Cahiers de la SFSIC se poursuit aujourd’hui avec la publication du numéro 17. Ce projet de revue, Brigitte et moi, nous l’avons porté, en 2007, avec le souci de toujours contribuer au développement éditorial de nos sciences. Nous devons à Brigitte d’avoir maintenu, diversifié et consolidé, en bientôt quinze ans, une ligne politique, institutionnelle et scientifique toujours consacrée à notre capital mémoire et à notre avenir, aux plans national et international. Merci Aurélia d’assurer le passage de témoin : il sera toujours porteur des couleurs de la SFSIC. Entre regard sur l’histoire et missions nouvelles pour l’horizon, les 17 sommaires témoignent d’un engagement toujours soucieux de fonder et de garantir la légitimité scientifique et politique de nos sciences. Les Cahiers de la SFSIC, un bulletin de liaison ? C’est bien plus : une revue fédératrice qui tient son succès des riches contributions d’un réseau solidaire d’auteurs et d’autrices. Nous tenons à leur témoigner toute notre reconnaissance.

2Gino Gramaccia

***

3Chère Brigitte,

4La coordination et l’édition des publications de la Sfsic demandent une vraie patience, afin d’atteindre la rigueur et la précision dont tu fais preuve. Et nous l’avons tous mis à l’épreuve, ta patience ! C’est pourtant toujours avec calme et gentillesse que tu arrives à nous remobiliser, et tes relances (mesurées) pour les articles en retard et les relectures à venir nous mettent tous à l’aise, sans nous faire sentir coupables. J’ai toujours apprécié cette relation apaisée : sans stress, on travaille plus efficacement, et l’objectif, comme tu me l’as souvent expliqué, c’est de publier dans les temps !

5Il nous a aussi fallu articuler papier et numérique, penser à comment rendre disponibles les publications en ligne, comment les mettre en scène, comment faire connaître la collection des interviews en DVD, les actes des congrès, peaufiner les annonces pour les lettres d’info… Le tout dans une constante ambiance amicale et efficace, entre deux pétitions pour sauver la planète et réclamer la libération de journalistes emprisonnés pas si loin que ça !

6Travailler avec toi m’a permis de m’intégrer en douceur dans le CA de la Sfsic dès 2008, en œuvrant concrètement à la diffusion des connaissances. Et de manière encore plus personnelle, j’ai été très touché de l’hommage que tu as rendu à ma mère dans le numéro 8 des Cahiers de la Sfsic lors du son décès. Tu l’avais connue également pour avoir travaillé avec elle auparavant au sein du GRREM, si mes souvenirs sont bons.

7C’est une autre de tes qualités que je voulais saluer ici : cette constante attention à organiser le devoir de mémoire au sein de la communauté des SIC. Raconter le parcours intellectuel, les rencontres, les divers chemins empruntés, amenant à diverses postures et à de nouveaux questionnements épistémologiques, voilà qui permet une transmission structurée des évolutions des SIC, afin de garder le fil entre les courants de pensées et les diverses générations de chercheuses et chercheurs.

8Enfin, tu as su également t’entourer de dynamiques collègues, et les former aux contraintes de l’édition scientifique, dans la patience et la bienveillance : les Cahiers sont entre de bonnes mains…

9Cyril Masselot

***

10Il est des rencontres auxquelles on ne s’attend pas… et encore moins dans un milieu professionnel – notre milieu professionnel. Faire sa place en tant que doctorant, jeune docteur, jeune maître de conférences n’est jamais aisé tant le réseau des enseignants chercheurs en SIC est vaste et le chemin pour y accéder long. J’ai eu la chance d’être accompagnée sur ce chemin par Brigitte Chapelain, elle m’a accueillie, m’a laissé une chance de lui prouver que je pouvais l’aider dans ses missions de Vice-présidente communication et, au gré des réunions pour les Cahiers de la SFSIC ou pour des projets associés à la communication de notre société savante, nous avons tissé des liens professionnels et personnels. Des liens de confiance d’abord, des liens d’estime réciproque, des liens amicaux forts enfin. Il est difficile aujourd’hui de trouver les mots pour te remercier Brigitte tant ton passage dans ma vie professionnelle et personnelle a été précieux, merci d’avoir été là, merci pour ton soutien, merci pour ta bienveillance, ton écoute sans faille, merci pour tes coups de gueule toujours à propos qui nous ont aidé à avancer et à pousser plus loin nos réflexions.

11J’ai du mal à imaginer les Cahiers de la SFSIC sans toi, même si je sais que tu n’en resteras jamais bien loin… et je vais tout faire pour remplir la mission que tu m’as transmise, certainement pas comme toi, certainement pas aussi bien que toi, mais à ma manière et j’espère que je ne te décevrai pas… A très bientôt, peut être autour d’une table mais surement pas pour formaliser le sommaire du prochain numéro !

12Aurélia Lamy

Pour citer ce document

Cyril Masselot, Aurélia Lamy et Gino Gramaccia, «Remerciements à Brigitte Chapelain», Les Cahiers de la SFSIC [En ligne], Collection, 17-varia,mis à jour le : 04/04/2022,URL : http://cahiers.sfsic.org/sfsic/index.php?id=889.