Aller la navigation | Aller au contenu

> Les journées formation de la Sfsic

Laurent Collet, Élise Maas, Dominique Bessières et Laurence Corroy

La cartographie des formations de niveau master de la SFSIC

Article

Texte intégral

1Avec pour objectif de valoriser les formations en SIC, de permettre aux étudiants d’avoir une vision globale de l’offre en France et de faciliter le travail des responsables de formation, la commission formation de la SFSIC  a lancé en 2015 un projet de référencement des formations de niveau master proposées par les universités françaises et liées à des laboratoires en sciences de l’information et de la communication. Pour faciliter la visualisation des masters référencés, cette commission a choisi de développer un outil de représentation graphique et cartographique des résultats, accessibble sous l’outil Google Map à l’adresse suivante : https://www.google.com/maps/d/edit?mid=5.

2Au-delà de l’objectif d’aider les responsables de formation à promouvoir leur offre dans le champ des Sciences de l’Information et de la Communication (SIC), c’est également, pour la commission formation de la SFSIC, l’occasion d’engager un travail de discussion collective et de prise de conscience sur les enjeux d’attribution des libellés officiels aux formations de niveau master en SIC. En effet, nous pensons que la visualisation sur une carte géographique de ces formations permet de comparer et d’associer les données récoltées pour produire du sens. C’est ce que propose cet article, qui fait suite aux promesses annoncées à la conclusion d’un article sur ce sujet, publié dans la revue Communication et organisation sous le titre de « ‪Cartographie des formations en SIC par la Société Française des Sciences de l’Information et de la Communication (SFSIC) : usages des données et méthodes de visualisation‪ » (Collet, Ivanov, Maas, 2016).‬‬

Quelques rappels historiques

3Les formations en information et communication ont débuté dans les Instituts Universitaires de Technologie (IUT) : 4 départements «carrières de l’information » implantés en 1967 à Bordeaux, Nancy, Strasbourg et Toulouse, puis 4 en 1968 à Besançon, Dijon, Paris et Tours, et 1 en 1974 à Grenoble (CNE, 1993).

4En 1991, ces départements proposaient cinq spécialités dans 9 établissements : journalisme (à Bordeaux et à Tours), communication d’entreprise (à Bordeaux, Grenoble, Nancy, Toulouse, Strasbourg et Paris), publicité (à Besançon, Bordeaux, Nancy, Strasbourg et Paris), métiers du livre (à Bordeaux et Nancy), documentation d’entreprise (dans les 9 établissements).

5En 1993-1994 sont créés les DUT (Diplômes Universitaires de Technologie) Systèmes et Réseaux de Communication (à Marne-la-Vallée, Versailles-Vélizy et Toulon-Saint-Raphaël), pérennisés en 1996, devenus MMI (Métiers du Multimédia et de l’Internet) en 2014. En, 2016, on compte ainsi 31 départements MMI dans toute la France (source : http://blogdummi.fr/liste-des-dut-mmi/).

6En 1957 est créé le CELSA (Centre d’Etudes Littéraires et Scientifiques Appliquées) au sein de la Faculté des Lettres de Paris, sous l’impulsion d’universitaires, de chefs d’entreprises et de syndicalistes. Un centre d’études et de recherche est ensuite créé en 1965. Et en 1971, le CELSA devient UFR (Unité de Formation et de Recherche) à dérogations de l’université Paris-Sorbonne (source : http://www.celsa.fr/celsa.php).

7En 1975, avec la création de la section des sciences de l’information et de la communication (alors 52e section du Comité Consultatif des Universités), des universités sont habilitées à délivrer des DEA (Diplômes d’Etudes Approfondies) et des doctorats de troisième cycle dans cette spécialité, condition sine qua non pour développer la recherche en sciences de l’information et de la communication et constituer un vivier de futurs enseignants. Pour autant, certaines universités n’ont pas attendu cela pour proposer des formations en Information et Communication. La première MSTC (Maîtrise de Sciences et Techniques de communication) est ouverte en 1971 à l’université de Lettres et Sciences humaines de Bordeaux.

8En 1992, on dénombre 21 MSTC (dont certaines proposent plusieurs options), 11 DEUST (Diplôme d’Etudes Universitaires Scientifiques et Techniques), dont 6 en information scientifique et technique et 3 en audiovisuel, 32 DESS (Diplôme d’Etudes Supérieures Spécialisées), alors qu’il n’y en avait que 21 deux ans plus tôt. Puis vinrent les IUP (Instituts Universitaires Spécialisé) : 7 sont créés en 1991 et 1992 (Rennes, Paris, Bordeaux, Grenoble…) proposant le titre d’ingénieur-maître.

9Dans les années 2000, le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche a produit une série de normes classificatoires pour « améliorer » la visibilité des formations universitaires. Ainsi, chaque formation doit appartenir à l’un des quatre domaines suivants : Droit, Économie, Gestion ; Sciences Humaines et Sociales ; Arts, Lettres et Langues ; Sciences, Technologies, Santé. L’essentiel des formations en Sciences de l’Information et de la Communication est classé en Sciences Humaines et Sociales.

10Enfin, en 2014, la nomenclature des noms de formations de niveau master est publiée dans le journal officiel du 4 février, ce qui conduit les départements et Unités de Formation et de Recherche à revoir leurs offres.

L’indexation des formations pour construire la carte

11Afin de d’identifier et de pouvoir cartographier les formations en SIC, nous avons répertorié celles que nous avons trouvées sur le web, via les sites des universités, en les classant au sein de dix thématiques liées à des objets de recherche des SIC :

  • « bibliothèques, archives, documents, données » vise à regrouper les formations en information-documentation mais également les formations sur les traitements de données (big data),

  • « communication politique et publique, espace public » sont des formations liées à la communication des institutions publiques et à la communication publique en général, hormis celle des organisations gouvernementales et non gouvernementales,

  • « Culture et société » chapote les formations permettant de travailler dans les milieux culturels,

  • « Dispositifs socio-numériques, pratiques et usages » tient ensemble les formations au numérique,

  • « Education et apprentissage » renvoie aux médias éducatifs,

  • « Epistémologie, méthodologie, recherche, philosophie, éthique » propose des formations aux métiers de consultants et de chercheurs,

  • « Industries culturelles et créatives » relie les formations où les questions de l’industrialisation et de l’innovation socio-économique se posent,

  • « Médias, journalisme » est le libellé qui parle de lui-même,

  • « Mondialisation, territoires et diversité culturelle » rassemble des formations à la communication d’institutions gouvernementales et non gouvernementales,

  • « Organisation, institution, travail » nous fait entrer dans l’univers des relations publiques et directions de la communication des organisations.

12Ce découpage, comme tout découpage, est arbitraire : certaines formations pourraient appartenir à plusieurs thématiques à la fois. Nous nous sommes donc attachés aux descriptifs des formations pour faire nos choix en en retirant les mots clefs les plus signifiants. Ces choix ont abouti à la création de la carte présentée plus haut où chaque thématique est représentée par une couleur différente afin de faciliter le repérage du lecteur.

Des constats visuels

13En premier lieu, on peut visuellement remarquer que la cartographie issue du travail de référencement donne à voir une France coupée en deux : les formations sont en plus grand nombre dans l’est de la France qu’à l’ouest. Par exemple, les universités de Brest, Caen, La Rochelle, Le Havre, Lorient, Limoges Angers, Le Mans, Pau ne proposent pas de formation de niveau master en IC. Les universités, à ne pas proposer de telles formations, sont plus rares à l’est : Reims, Valenciennes, notamment. Il est alors logique de constater que dans les universités sans formation de niveau master en information-communication, on ne retrouve pas d’UFR ou de département en sciences de l’information et de la communication. Relation de cause à effet. Dans ces établissements, les formations à l’information et à la communication, quand elles existent, sont proposées en licence professionnelle :

14En deuxième lieu, en excluant Paris qui offre en raison de son statut de capitale et de sa densité de population de nombreux pôles de formation en information-communication, on remarque plusieurs pôles universitaires avec une forte offre de formation : Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Lyon, Grenoble, Lille. En l’occurrence, la richesse de l’offre va de paire avec des équipes d’enseignants chercheurs conséquentes appartenant à des laboratoires de recherche ayant été créés il y a plusieurs décennies.

15Enfin, en troisième et dernier lieu, deux thématiques attirent plus particulièrement l‘attention de par leurs “caractéristiques visuelles” :

  • en dessous d’une ligne Bordeaux-Lyon, la thématique « Mondialisation, territoires et diversité » n’apparaît dans aucune offre de formation en information-communication. Peut-être peut-on considérer que les débouchés professionnels escomptés de ce type de formations paraissent liés au développement des métropoles régionales et donc plus aisément pensés et proposés dans les grands centres urbains en liaison avec l’Ile de France ;

  • les formations aux médias éducatifs sont peu nombreuses (deux) et se situent à Paris. Il est possible et souhaitable qu’à l’avenir davantage de masters se préoccupent et affichent une articulation entre médias et pédagogie. Des axes de recherche se développent en SIC et abordent les questions liées à l’éducation aux médias, aux littératies, aux nouvelles formes de pédagogie active dont les médias et les TIC sont partie prenante (moocs, groocs, classes inversées, classes renversées) et qui ont tout intérêt à se décliner dans les offres de formation – qu’elles soient en formation initiale ou tout au long de la vie.

Des données chiffrées

16D’après les données récoltées, il y a dans les universités françaises 187 mentions ou parcours de master dépendant des sciences de l’information et de la communication, qui se distribuent de la sorte :

  • 36 dans le secteur du numérique,

  • 31 pour les métiers de l’archivage et de la documentation,

  • 30 en communication des organisations,

  • 26 positionnés sur les industries culturelles et créatives,

  • 18 touchant aux métiers de la culture,

  • 15 en journalisme,

  • 13 pour ce qui est du domaine de l’épistémologie et de la méthodologie en SIC,

  • 10 s’intéressant à la communication territoriale,

  • 6 en communication politique et publique,

  • 2 sur la thématique de l’éducation et de l’apprentissage.

17Ces données sont relativement fiables sauf pour ce qui est du nom des responsables de formation. En effet, suite à des retours que nous avons pu avoir de la part de collègues soucieux de la justesse des informations affichées, nous avons pu nous apercevoir que nombre de pages web n’étaient pas à jour : les noms des responsables n’étaient plus les bons. D’où le rôle important de la communauté des responsables de formation dans la production de cette cartographie et sa mise à jour : vérifier les informations communiquées sur la carte, faire un retour à la commission formation de la SFSIC. Ce rôle des responsables doit compenser les dysfonctionnements éditoriaux des universités. Pour renforcer la complexité de la tâche, il existe des sites web obsolètes créés par des départements ou des UFR, qui n’ont pas été supprimés. Ils viennent en contradiction avec les informations affichées par les sites des universités, qui malgré tout, sont mieux actualisés.

18Quatre grandes thématiques ressortent, néanmoins, de ce référencement : le numérique, l’archivage et la documentation, la communication des organisations et les industries créatives. Il serait intéressant, dans une recherche future, de mettre en perspective la prédominance de ces thématiques avec les évolutions des métiers de la communication et de l’information.

Les liens entre recherche et enseignement

19On remarque que certaines thématiques sont plus développées que d’autres au sein des universités. Cet état de fait est en rapport avec les axes de recherche des laboratoires auxquels sont liées ces formations. Par exemple, les universités de Lyon proposent 4 parcours de formation dans la thématique « bibliothèques, archives, documents, données » en lien avec les axes de recherche du laboratoire de recherche ELICO ; laboratoire qui sur son site web explique qu’une de ses thématiques de recherche prioritaires sont « les bibliothèques numériques : usages, analyse et conception de dispositifs, analyse socio-économique » (source : http://www.elico-recherche.eu/). L’université de Paris 13 propose, quant à elle, 4 parcours de formation dans la thématique des “industries culturelles et créatives”.

20Ce lien est moins visible dans les universités où sont présentes de grosses unités de recherche en SIC puisque elles sont alors en mesure de proposer un spectre d’enseignement et de recherche plus large.

L’appropriation des nomenclatures du ministère

21Suite à une volonté de simplification du Ministère de l’Enseignement Supérieur, les 5 000 intitulés de master, qui existaient en France, ont laissé place à 251 appellations via l’arrêté du 4 février 2014 (Source : https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte = JORFTEXT000028583174&categorieLien=id)

22Notre propre repérage, issu d’un travail réalisé par la commission recherche de la SFSIC, identifie 20 mentions susceptibles d’appropriation par les SIC : Information, documentation ; Sciences de l’information et des bibliothèques ; Information, communication ; Information et médiation scientifique et technique ; Industries culturelles ; Humanités et industries créatives ; Culture et communication ; Muséologie, muséo-expographie ; Cinéma et audiovisuel ; Arts de la scène et du spectacle vivant ; Métiers du livre et de l’édition ; Communication des organisations ; Intervention et développement social ; Innovation, entreprise et société ; Communication et publicité ; Communication publique et politique ; Création numérique ; Audiovisuel, médias interactifs numériques, jeux ; Humanités numériques ; Ingénierie de conception.

23On constate que loin de se positionner à tout-va, les équipes font des choix stratégiques au nombre de deux :

  • L’utilisation de la mention « information communication » comme mention chapeau regroupant des parcours pouvant toucher à divers secteurs d’activité. C’est le cas de l’université de Grenoble qui propose sous ce titre, les huit parcours suivants : Information-communication publique et médias, Communication publique pour professionnels, Communication politique et institutionnelle, Communication d’entreprise, Communication d’entreprise pour professionnels, Communication et culture scientifiques et techniques, Audiovisuel et médias numériques, Communication et management à l’international.

  • L’utilisation de plusieurs intitulés pour exposer l’offre de formation comme dans le cas de l’université de Toulouse, qui propose des mentions en des parcours : mention Information-Communication avec 4 parcours (Communication et Territoires, Administration et Gestion de la communication, Communication et culture numérique, Administration et Gestion de la culture), mention « Information-Documentation » avec 3 parcours (Archives et images, Éditions Imprimées et numériques, Ingénierie de l’information numérique, mention «Communication et culture» qui comporte 3 parcours (Communication audiovisuelle et médias, Médiations culturelles et études visuelles, Médiations scientifiques techniques et patrimoniales).

24Le cas particulier du numérique

25Les formations au numérique sont des cas à part car elles traversent les secteurs professionnels : communication des organisations, culture, journalisme.

26On peut cependant faire la distinction entre :

  • les formations, qui préparent aux métiers de la production numérique (à Toulon, Grenoble, Montbéliard, Nancy, Metz, Paris 8…). Sont alors visés les métiers de l’édition numérique : chef de projet multimédia, community manager, data analystes,

  • les formations qui abordent le numérique dans un domaine précis comme la culture, les liens intergénérationnels, la communication des organisations (à Bordeaux, Toulouse, Montpellier, Rennes…).

27Le secteur du journalisme, quant à lui, absorbe les dispositifs d’information et de communication au fur et à mesure de leurs diffusions dans les entreprises éditoriales. Cela a été le cas de l’audiovisuel dans les années 80 et le web à la fin des années 90, début des années 2000.

Conclusion

28De 1972 et le “Comité français pour les Sciences de l’Information et de la Communication” à 1974 et la création de la 52e section, qui deviendra en 1983 la 71e section, les sciences de l’information et de la communication sont devenues une discipline irréversible (Miège, 2002). C’est moins le cas des formations en information-communication puisque, non seulement le ministère n’a pas jugé opportun de proposer une mention “sciences de l’information et de la communication”, mais qui plus est, il n’y a pas de lien légitime entre le nom d’une mention et une discipline scientifique.

29Face à cet état de fait imposé par le ministère, les équipes d’enseignement et de recherche adoptent des stratégies diverses : s’approprier des mentions ou multiplier des parcours au sein d’une seule et même mention “information-communication”.

30Le processus est en cours car la vague d’habilitation a tout juste commencé pour certaines universités alors que pour d’autres, elle est terminée. Il est donc encore trop tôt pour tirer d’autres conclusions à partir des données de la carte. Par contre, on peut déjà remarquer des thématiques de formation plus nombreuses que d’autres et une place particulière pour le numérique dans le paysage universitaire.

31Les enjeux ne sont pas minces, la reconnaissance de nos formations comme autant de liens avec nos recherches fondamentales et appliquées doit être accentuée. Les UFR, « unités de formation et de recherche », inscrites dans la loi, impliquent cet arraisonnement des formations à la recherche. En fonction des mentions et des disciplines convoquées, ce ne sont ni les mêmes experts ni le même type de validation scientifique qui risquent d’être sollicités par l’HCERES.

32Plus globalement, on peut ajouter que c’est une démarche portée par la Commission Formation de la SFSIC qui a permis de procéder à cette cartographie - état des lieux, faute de disposer de tels outils permettant une vision globale du champ disciplinaire en termes de diplômes universitaires dispensés. Elle permet aussi, en creux, de révéler des faiblesses notables dans les actualisations des informations sur les diplômes réellement disponibles, tant de la part de certains départements, que des universités. Ceci est à relier à l’information très déconcentrée, ce qui peut s’avérer préjudiciable collectivement en termes d’image, de sérieux, d’opérationnalité d’une part, pour les mouvements de « diplômation » dans un contexte de concurrences de visibilité avec plusieurs champs disciplinaires comme les sciences de gestion, la sociologie, la science politique d’autre part. La SFSIC, par ce travail d’explicitation et de clarification, vise à sensibiliser l’ensemble des acteurs disciplinaires, locaux, organisationnels, ministériels, mais aussi estudiantins et professionnels à la portée de ses dispositifs de formations pour tenter de mieux les faire appréhender et de les consolider. Plus largement, il s’agit aussi d’œuvrer à la reconnaissance et à la légitimation des Sciences de l’information et de la communication dans l’articulation de leur double dimension d’enseignement et de recherche.

Webographie

Bibliographie

Collet Laurent, Ivanov Ivan, Maas Elise, « ‪Cartographie des formations en SIC par la Société Française des Sciences de l’Information et de la Communication (SFSIC) : usages des données et méthodes de visualisation‪ », Communication & Organisation 1/2016 (n° 49), p. 241-250.‬‬

Comité National d’évaluation, Les sciences de l’information et de la communication, Rapport d’évaluation, mars 1993.

Miège Bernard, Le projet des SIC : de l’émergent à l’irréversible, avec la collaboration de Jean MEYRIAT, chapitre d’un ouvrage, in BOURE Robert (coordonné par) « Les origines des sciences de l’information et de la communication- regards croisés », éditions du Septentrion, 2002, pp. 45-70.

http://blogdummi.fr/liste-des-dut-mmi/, consulté à la date du 15 novembre 2016.

https://formation.univ-pau.fr/fr/accueil/sciences-technologies-sante-STS/licence-professionnelle-13/licence-pro-metiers-du-numerique-conception-redaction-et-realisation-web-program-40-1.html, consulté le 14 novembre 2016.

https://formations.univ-larochelle.fr/IMG/pdf/triptyque_offre_de_formations_web_2.pdf, consulté le 14 novembre 2016.

http://www.celsa.fr/celsa.php, consulté le 25 novembre 2016.

https://www.google.com/maps/d/edit?mid consulté à la date du 13 novembre 2016.

http://www.elico-recherche.eu/, consulté à la date du 14 novembre 2016.

https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte consulté à la date du 15 Novembre 2016

Pour citer ce document

Laurent Collet, Élise Maas, Dominique Bessières et Laurence Corroy, «La cartographie des formations de niveau master de la SFSIC», Les Cahiers de la SFSIC [En ligne], Collection, 14-Varia, FORMATION, MONDE PROFESSIONNEL, > Les journées formation de la Sfsic,mis à jour le : 05/04/2020,URL : http://cahiers.sfsic.org/sfsic/index.php?id=222.

Quelques mots à propos de : Laurent Collet

Université de Nice-Toulon, I3M EA 3820, laurent.collet@univ-tln.fr

Quelques mots à propos de : Élise Maas

Université libre de Bruxelles, ReSIC, Institut des Hautes Études des Communications Sociales (IHECS), elise@maas.cc

Quelques mots à propos de : Dominique Bessières

Université Rennes 2, PREFICS EA 42-46, dominique.bessieres@univ-rennes2.fr

Quelques mots à propos de : Laurence Corroy

Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3, CERLIS UMR 8070, laurence.labardens-corroy@univ-paris3.fr